De Notre Dame de Lourdes, au Sacré Cœur (Lomme)
en passant par Saint Charles (Bois Blancs) et Saint Laurent (Sequedin)
Nos lieux de culte
ont une histoire
Notre Paroisse Saint Benoit des Marais : 4 clochers
Le dimanche 25 janvier 2004, Mgr Jean-Luc Brunin, évêque auxiliaire de Lille, est venu en l’Église Notre Dame de Lourdes lancer la Paroisse Nouvelle qui comprend les quartiers du Marais et du Mont-à-Camp à Lomme, le quartier des Bois Blancs et la commune de Sequedin : cette paroisse porte le nom de Saint Benoit des Marais, elle regroupe les clochers de quatre églises : Notre Dame de Lourdes, Sacré Coeur, Saint Charles et Saint Laurent.
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(Lomme Marais)
Notre Dame de Lourdes au Marais de Lomme construite à partir de 1893. Le chanoine Jules Leroux fut le fondateur et premier curé de la paroisse.
H i e r .....
. . et aujourd'hui
Le saviez-vous : La première cloche du nom de "Marie-Ernestine" et bénie en 1895 a été enlevée par les allemands en 1917 pour être fondue. Le 21 septembre 1924, deux nouvelles cloches offertes par les paroissiens ont pour nom "Madeleine Agnès Marie Jeanne" et "Marie Louise Henriette" dont le parrain fut le chanoine Jules Leroux fondateur et premier curé de la paroisse.
Le dimanche 25 janvier 2004, Mgr Jean-Luc Brunin, évêque auxiliaire de Lille, est venu en l’Église Notre Dame de Lourdes lancer la Paroisse Nouvelle qui comprend les quartiers du Marais et du Mont-à-Camp à Lomme, le quartier des Bois Blancs et la commune de Sequedin : cette paroisse porte le nom de Saint Benoit des Marais, elle regroupe les clochers de quatre églises : Notre Dame de Lourdes, Sacré Coeur, Saint Charles et Saint Laurent.
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Église de Notre Dame de Lourdes
(Lomme Marais)
H i e r .....
. . et aujourd'hui
Le saviez-vous : La première cloche du nom de "Marie-Ernestine" et bénie en 1895 a été enlevée par les allemands en 1917 pour être fondue. Le 21 septembre 1924, deux nouvelles cloches offertes par les paroissiens ont pour nom "Madeleine Agnès Marie Jeanne" et "Marie Louise Henriette" dont le parrain fut le chanoine Jules Leroux fondateur et premier curé de la paroisse.
Le 22 juin
1895, la statue de la Vierge haute de 2 mètres a été placée dans sa
niche : elle a été offerte par Mademoiselle C. Beharel dont le père
avait vendu un terrain et avait été achetée à Lourdes
Le chemin de Croix a été inauguré le 29 mars 1896 : chaque station est le don d'une famille généreuse de la paroisse (inscrite au bas de chaque tableau) reproduite d'après celui de la cathédrale d'Anvers.
Église Saint Laurent (Sequedin)
L’église de Sequedin,
dédiée à Saint Laurent, est construite en briques et en pierres blanches de
Lezennes. De style gothique, elle offre trois nefs séparées par six piliers un
peu grossiers. La partie antérieure de ces nefs pourrait dater du XIIème siècle.
En effet, en 1132, Simon, évêque de Tournai, fit don de l’autel de Sequedin,
don confirmé par le pape Célestin II en 1144. Elle servait alors de lieu de
culte aux habitants de l’époque. Elle était également utilisée comme chapelle
par les moines cisterciens de l’Abbaye de Loos devenue la « prison de
Loos ».
Vers 1585, fut construite
la nef centrale, puis celle de St Laurent en 1637, bâtie par Maximilien Vilain de Gand. La sacristie qui
présente une jolie voûte de briques à nervures de pierre daterait de la même
époque. La nef Notre Dame date de 1714 et le choeur de 1768. Le clocher, en bois,
recouvert d’ardoises, est formé de quatre pans de pyramide tronquée se
terminant par une sorte de calotte à huit pans, au-dessus de laquelle s’élèvent
la croix et le coq traditionnels.
Il n’y avait qu’une seule cloche en 1832.
Elle s’appelait Félicité-Adrienne. Elle fut brisée le 1er novembre
1885 et envoyée à la refonte le 20 février 1886 pour en faire deux
autres : Pauline Louise et Jeanne Marie Joseph. Volées par l’occupant le
25 juin 1917, elles furent remplacées par Anne Marie Joseph (870 kilos) et
Jeanne Marie Louise (450 kilos) arrivées à Sequedin le 11 novembre 1922 et
baptisées par Léon Ragent alors chanoine honoraire de Lille, officier de la
légion d’honneur, aumônier militaire du 1er corps ; Monsieur
Alfred Thiriez étant maire et l’Abbé Edmond Truffaut, curé.
Les vitraux, posés en
1932 sous le ministère de l’abbé Bossut, furent détruits en grande partie par
les bombardements de 1939-1945. Restaurés en 1949, ils rappellent, par la
splendeur de leurs coloris, l’histoire du Christ et furent payés par les dons
de quelques familles sequedinoises.
En 1980, la commune fit poser les vitraux
face à la place de la Libération pour remplacer les maçonneries existant depuis
la construction de l’église.
A l’intérieur de l’église, se trouvent une cuve baptismale en pierre de Tournai, ornée d’une arcature romaine, antérieure au XVème siècle, des magnifiques bancs de communion en chêne de style Renaissance flamande du XVème siècle, un tableau de l’Assomption signé P.Bordagne en 1722 et un tableau représentant le martyre de Saint Laurent, œuvre de l’Abbé Carnel, curé de Sequedin de 1867 à 1878.
On note aussi une Sainte Vierge et un Saint Laurent, sculptures en bois récentes effectuées par Monsieur Potier, natif de Sequedin, statues venues compenser la perte de statues et tableaux volés le 30 décembre 1978.
A cette date, en milieu de journée, des
voleurs s’introduisirent dans l’église après avoir cassé un vitrail du chœur.
Disparurent notamment une statue de Saint Sébastien, propriété de la Société
des archers du Vert Touquet, société fondée au temps de Louis-Philippe et une
statue de la Vierge qui avait jadis sa place dans l’ancienne chapelle Lemoine,
sentier d’Haubourdin.Lors de la Révolution de 1789, l’église faillit être détruite. Elle fut achetée par un marchand de bois pour la modique somme de 300 Francs et fut sauvée. Elle fut épargnée pendant la guerre de 1914-1918. Seuls quelques vitraux furent abîmés. Dès les premiers jours du conflit de 1939-1945, le plafond du chœur fut percé en deux endroits par des éclats d’obus de DCA ; En mai 1940, des combats sanglants se déroulèrent à l’intérieur de l’édifice pour la conquête du clocher.
Dans son livre intitulé « L’armée du sacrifice », Pierre Portland évoque cette période douloureuse : « Les demandes de renfort étant restées sans réponse, l’ordre de repli derrière le canal de la Deûle est donné. N’ayant pas d’autres transports que leurs bras, les hommes doivent abandonner leurs camarades morts ou blessés graves dans l’église de Sequedin, sous la garde d’infirmiers du bataillon… »
Après la Libération,
l’église fut remise en état comme l’atteste la plaque de marbre posée sur le
premier pilier de gauche en entrant par le grand portail. On y
lit : » Cette église endommagée par les bombardements de 1940 et 1944
a été rendue au culte le 18 octobre 1948, après réparations.
Monsieur l’Abbé Jean
Housez, curé de la paroisse de 19 à
19 entreprend aux frais de la paroisse,
la mise en place de l’autel actuel en pierre de Soignies, le déplacement des
fonts baptismaux, l’installation d’un chauffage à air pulsé et la pose d’un
nouveau dallage remplaçant celui en pierre de Comblanchies, usé par les ans. En
1982, le Comité paroissial procède à une réfection de l’autel de la Vierge.
Parallèlement, durant
cette même période, la commune fait procéder à la rénovation des toitures, puis
à de grands travaux de restauration des murs intérieurs et extérieurs. Ces
travaux ont permis de faire réapparaître à l’intérieur de l’église des
sculptures qui disparaissaient sous d’épaisses couches de peinture.
Sources : archives
paroissiales et livre « Histoire de Sequedin » édité par la ville de
Sequedin en juillet 2000.
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Église Saint Charles (Lille Bois Blancs)
en 1907-1908 construction de l’Église
en 1933 construction de la flèche du clocher et pose de l'horloge
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| état de l'église avant les travaux et après. Venez la découvrir rénovée! |
Fermée début 2009 pour travaux, l’Église a été ré-ouverte en 2011. Les travaux se poursuivent. La réfection du clocher est achevée, le tour de l'église est en cour. A l'intérieur, divers projets dépendront de l'état des finances de la paroisse : réfection des murs, peintures, aménagement d'une chapelle pour les baptêmes.
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Sacré Cœur (Lomme Mont-à-Camp)
Le dimanche 8 avril 2007, l’Église du Sacré Cœur a été inaugurée par Mgr Delannoy, évêque auxiliaire de Lille.
J'ai été fondue à Douai en 1920 par la maison Wauthy. J'ai été baptisée à Mont-à-Camp le 25 décembre 1920 par Mgr Alfred
Margerin. Je m'appelle Marie, Alice, Lucienne.Mon parrain a été Lucien Ducoin-Poissonnier. Ma marraine a été Alice Béthencourt-Bernard.J'ai la voix de l'Eglise pour tous les paroissiens.Je sonne pour la concorde et la paix.Je chante les fêtes de la religion et de la patrie.Je pleure les deuils des familles et de la France.Je glorifie les héros de la grande guerre.Je rappelle à tous : Dieu - Devoir et le ciel.
